Interviews de Kristen

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Interview de Kristen pour Première





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INTERVIEW RÉALISÉE PAR PREMIÈRE

Avant la sortie du dernier Twilight et après avoir fait un tour Sur
la route avec Walter Salles, Kristen Stewart poursuit son émancipation
dans Blanche-Neige et le Chasseur de Rupert Sanders, un film qui s’en
tire à très bon conte.

Première : L’épilogue de Twilight sort au mois de Novembre, vous
étiez il y a peu à Cannes avec Sur La route, on vous retrouve ce mois-ci
dans Blanche-Neige et le Chasseur… C’est une grosse année pour vous. La
plus impressionnante de votre jeune carrière ?
Kristen Stewart : La plus excitante, en tout cas oui ! Et oui, sans
doute la plus importante depuis la sortie du premier Twilight. Je suis
heureuse d’être à l’affiche de ces trois films très différents. Le
contraste à être dans chacun d’eux va peut-être permettre aux
spectateurs de me voir sous un jour nouveau. Mais il n’y avait
absolument rien de prémédité de ma part. Je ne me suis pas dit «
Parfait, arrangeons-nous pour que ces trois films sortent en même temps,
histoire de montrer l’écart de mon registre » (Rires). C’est vraiment
un pur hasard et non le résultat d’une stratégie ou d’un quelconque plan
de carrière.

Première : Difficile de ne pas voir dans les sélections cannoises de Sur
La Route et de Cosmopolis le signe que le chapitre Twilight est
définitivement clos pour Robert Pattinson et vous…
Kristen Stewart : Oui, Cannes, c’est le Graal, le but ultime pour tous
les acteurs. Ce n’est pas pour ça qu’ont fait ce métier, mais il
n’existe pas de récompense plus gratifiante qu’une sélection là-bas.
Cela dit, il est difficile pour moi de parler de la “fin” de Twilight.
Déjà parce que le dernier film n’est pas sorti, et aussi parce que je
n’ai jamais eu l’impression d’être prisonnière de la saga. J’ai toujours
fait en sorte de changer d’air, de tenter d’autres choses entre deux
épisodes.

Première : La différence, c’est qu’avant, entre deux Twilight, vous
tourniez des petits films indépendants comme Welcome To The Rileys ou
The Runaways. Blanche-Neige et le Chasseur est au contraire une grosse
machine, particulièrement le premier volet d’une nouvelle franchise et
le premier film où vous assumez pleinement votre statut de movie star…
Kristen Stewart : Je ne le vois pas comme ça. Au début, j’étais contre
l’idée de jouer dans un film qui pourrait avoir une suite. Une nouvelle
franchise ? Merci, mais très peu pour moi. Et surtout pas une saga tirée
de Blanche-Neige, une histoire que tout le monde connait avec un début,
un milieu et une fin. Je ne voulais pas être enchaînée à un projet sur
une aussi longue période que pour Twilight. J’adore ces films, ça a été
une super aventure, mais j’avais vraiment envie de bouger, d’engranger
les expériences. Et puis j’ai rencontré Rupert Sanders (le réalisateur
du film)… Je suis tombée sous le charme de son imaginaire, de ses
procédés esthétiques. Il me faisait entrevoir un monde inédit dans
lequel j’avais très envie d’évoluer. Quand tu rencontres un réalisateur,
tu sais très vite si ça va coller ou pas. Il va être ton boss, celui
que tu vas devoir suivre coûte que coûte pendant de longs mois. Choisir
un film, un rôle, ça n’a rien de rationnel. C’est une pulsion viscérale,
quasiment indescriptible. Du jour au lendemain, tu n’as plus que ça en
tête. Et là, ma rencontre avec Rupert m’a fait plonger…

Première : Il y aura donc bien une suite à Blanche-Neige et le Chasseur ?

Kristen Stewart : Je ne veux pas vendre la peau de l’ours avant de
l’avoir tué (ndlr : j’ai pris une heure pour déchiffrer ce proverbe sur
le scan ^^) et je n’ai sans doute pas le droit de vous dire ça, mais
oui, on est plutôt optimistes. On est tous fiers du film, on a envie
qu’il y ait une suite. S’il n’y en a pas, ce ne sera pas un drame non
plus, mais j’ai bon espoir.

Première : Vous venez donc d’en reprendre pour cinq ans…

Kristen Stewart : C’est bizarre, hein ? En tous cas, ça confirme ce
que je disais : il n’y a pas de logique derrière mon choix de carrière !

Première : Un film, c’est toujours un pari ?

Kristen Stewart : Exactement. Le résultat final dépend de tout un tas
de facteurs, et c’est un miracle lorsque les intentions de départ
subsistent toutes à l’arrivée. Les parcours sans fautes sont rares, en
particulier sur les films à gros budget où les gens prennent peur à
cause des sommes en jeu, des attentes commerciales, et finalement des
produits calibrés, tièdes, sans âme. Je suis de parti pris, certes, mais
je trouve Blanche Neige et le Chasseur très réussi, assez unique en son
genre. C’est d’autant plus remarquable que c’est une histoire que tout
le monde est censé connaître par cœur. Le résultat est vraiment cool.

Première : A quel moment avez-vous compris que, artistiquement parlant, ce pari-là était gagné ?
Kristen Stewart : Assez tôt, en fait. Rupert avait bonne réputation en
tant que réalisateur de pubs mais il n’avait jamais tourné de longs
métrages. Il a décroché le job sur Blanche-Neige et le Chasseur en
préparant une sorte de bande démo dans laquelle il exposait ses choix
esthétiques. Dans le film, on voyage entre plusieurs univers, et il se
trouve que Rupert était aussi inventif dans sa description de la forêt
enchantée que dans celle de la « dark forest ». C’était important pour
moi de savoir qu’il allait être convaincant sur les deux tableaux parce
que c’est vraiment le cœur de l’histoire : le combat de la lumière
contre les ténèbres.

Première : Parlons de votre relation personnelle au mythe de
Blanche-Neige. J’ai cru comprendre que vous n’étiez pas très cliente de
Walt Disney quand vous étiez petite…
Kristen Stewart : Faux j’adore les Disney ! C’est juste que je ne suis
pas fan des dessins animés avec des princesses. Je préférais Le Livre de
la jungle ou Robin des Bois à Blanche-Neige et les sept nains. Notre
Blanche-Neige à nous marque un retour aux sources. On la joue classique,
très fidèle aux frères Grimm. Bien sûr, comme le conte est très court,
il a fallu développer, inventer de nouvelles péripéties. Le film est
plus sombre, plus violent. Disney avait adapté les frères Grimm en leur
ajoutant des couleurs. Nous, on noirci le trait.

Première : Pendant le tournage du film, vous évoquiez les points
communs entre Blanche-Neige et Jeanne d’Arc. Saviez-vous que Jennifer
Lawrence avait aussi pris Jeanne d’Arc comme modèle pour son rôle dans
Hunger Games ?
Kristen Stewart : Ah oui ? Tiens, c’est marrant… Et logique aussi dans
le sens où les femmes n’ont pas énormément de figures historiques
emblématiques auxquelles se référer – à la différence des hommes, qui
ont l’embarras du choix. C’est normal que Jennifer et moi nous
intéressions à Jeanne d’Arc car elle est la mère de toutes les héroïnes
modernes.

Première : De Joan Jett dans Les Runuways à Blanche-Neige, vous
choisissez toujours des rôles de rebelles, d’héroïnes qui défient les
conventions. Percevez-vous ces similarités, ces échos entre tous vos
rôles ?
Kristen Stewart : Oui, mais j’ai surtout le sentiment de m’intéresser à
des personnages honnêtes, intègres, qu’il s’agisse de Joan Jett, de
Bella dans Twilight ou de Marylou dans Sur La Route. Je n’ai encore
jamais joué quelqu’un que je n’aimais pas à 100%, dont je n’approuvais
pas les choix. Ce sera la prochaine étape : me confronter à un rôle
vraiment pervers et tordu…

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Interview de Kristen dans “The Project” – Vidéo Traduction



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Journaliste : Vous avez rencontré Kristen Stewart récemment.
Journaliste 2 : Oui. Elle est dans ce super film, “Blanche-Neige et le
Chasseur”. J’ai discuté avec elle et tout le cast dans ce superbe
château. C’était la dernière interview de la journée mais elle était
absolument fantastique. Le film est brillant, elle est fantastique
dedans, il y a 7 nains. Regardez-ça.
Elle avait le rôle de Bella dans la Saga Twilight. Elle fait plus que de
jouer avec les vampires et les loup-garous. Elle a commencé à jouer dés
le plus jeune âge, elle a été la fille de Jodie Foster dans Panic Room a
seulement 12 ans, Kristen a joué dans prés de 30 films, dont le dernier
est plus du côté action pour Blanche-Neige. D’après le conte de fées,
dans Blanche-Neige et le Chasseur, il y a Kristen mais aussi Chris
Hemsworth et puis quelques nains bien sûr et le méchante Reine joué par
la délicieuse Charlize Theron. Dans le jardin d’un ancien château
anglais, j’ai discuté avec les acteurs de ce conte de fées.
Pas d’armure aujourd’hui ?
Kristen : Non, j’aurais du. Je ne sais pas ce qui va pas chez moi. C’est
cool d’avoir une fille de ma taille et gérer une armée avec une armure,
combattre des trolls. Elle peut tout faire. Cela fait longtemps que je
n’ai pas joué une fille de pouvoir, j’ai toujours joué une fille en tant
que fille, jamais en tant que mec. Je me suis blessée tous les jours.
J’ai détruit mon pouce. J’ai essayé de frapper un nain mais je l’ai
loupé. J’ai souffert souvent mais c’était chouette.
Journaliste : Vous voudriez refaire un film d’action comme ça ?
Kristen : Oui, c’est dur de faire un film d’action mais je le referais.
Je pensais être super dedans, je disais “je suis parfaite pour ça, je
vais tout faire” et en fait, j’étais comme un bébé en faisant certains
trucs. C’est plus comme les garçons comme Chris Hemsworth qui fait Thor.
C’est un gars énorme, il est super fort.
Film : “La Reine demande votre présence”. “Je suis en train de prendre un bain”.
Journaliste : Comment c’était de jouer avec lui ? Comment c’était le baiser qui vous ramène à la vie ?
Kristen : Je dormais donc je n’ai pas pu, vous voyez. Je ne m’en
souviens pas. C’est vraiment un des garçons le plus sympa que j’ai
rencontré dans ma vie. Et tout le monde dit ça dans les interviews, je
vous promet, il l’est vraiment. Chris et moi on est assez proche, je
parie sur tout, je l’embête pour connaitre la fin parce qu’il est
toujours “et pour ça ? et pour ça ? Peut-être qu’on doit changer ça”. Il
est fait pour ça. J’adore.
Journaliste : Votre mère est australienne n’est-ce pas ?
Kristen : Ma mère vit aux Etats-Unis depuis longtemps et parfois son
accent ressort et je suis. J’ai cassé mon bras en Australie, je suis
tombée d’un cheval, c’est pour ça que j’ai peur d’eux.

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Scan: Interview de Kristen avec Skip Magasine – Juin 2012





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Source+Scans : @KStewDevotee
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Roadtrip sur la Croisette

SKIP : Très prochainement, la dernière partie
irrévocable de la Saga Twilight va sortir. Vous avez d’ores et déjà fini
le tournage depuis un moment – comment envisagez-vous précisément votre
futur ? Quel genre de film aimeriez-vous faire ?

Kristen Stewart : Bizarrement, je me pose cette
questions lors des interviews (rires). Et non, je ne planifie rien, je
laisse juste les choses arriver naturellement. Je pense que dans cette
industrie, c’est vraiment difficile de travailler sur quelque chose de
spécifique. Je veux dire, c’est un métier très étrange, d’interpréter
comme si vous étiez quelqu’un d’autre, alors que vous êtes regardés par
autant de personnes au temps que faire se peut. Il est difficile de
faire toute sorte de plans – je recherche toujours des projets spéciaux
qui me parlent réellement.

SKIP: Et Sur La Route vous a parlé apparemment –
même si, comme vous l’avez dit dans une autre interview, certaines
personnes vous l’ont déconseillé, car le rôle n’était pas assez
important.

Kristen: J’aime ce livre depuis que j’ai 14 ans et
j’étais certaine, que Walter Salles était vraiment le bonne personne
pour réaliser le film. J’étais sure de ça la première fois où je l’ai
rencontré. De temps à autre et ensuite vous rencontrez les gens, et vous
savez dès le début que vous êtes sur la même longueur d’onde – et
c’était comme ça entre Walter et moi. Même si je ne pouvais pas vraiment
m’imaginer dépeignant Marylou – elle est très, très différente de moi.
Mais j’ai dû apprendre à me lâcher complètement pour ce rôle. C’est
quelque chose qui est très difficile pour, car je déteste perdre le
contrôle de quoi que ce soit. Je suis une incroyable maniaque du
contrôle. Je veux toujours savoir exactement qui ou ce que je suis à
chaque instant.

SKIP: Comment vous êtes-vous préparer pour le rôle ?

Kristen: Hé bien, physiquement, principalement juste
par la respiration (rires). Mais sérieusement, je connaissais très très
bien le livre, mais pour le film, j’ai lu beaucoup de littérature
secondaire. Marylou est basée sur une personne réelle. Et j’ai trouvé ça
incroyablement excitant de savoir qui était cette personne.

SKIP: Walter nous a dit qu’il a envoyé ses acteurs à
un ‘Beatnik Bootcamp’, pour leur faire comprendre l’atmosphère unique
dans laquelle prend place l’histoire.

Kristen: Ouais, c’était amusant. On a lu tous
ensemble I Celebrate Myself, le livre le plus génial sur Allen Ginsberg.
Et puis j’ai appris à danser, à écouter le bon genre de musique tout en
fumant trop de cigarettes sur le balcon. Des choses comme ça.
Heureusement on est tous tombés amoureux des uns et des autres (rires.)
Les gens disent toujours à propos des films, que tout le monde ‘devient
une grande famille’ – mais je crois vraiment qu’aucune autre expérience
ne peut être comparée à celle qu’est Sur La Route. Je n’ai jamais
ressenti ce genre de proximité sincère sur un plateau.

SKIP: Comme c’était pour vous de vous plonger dans
l’atmosphère Beatnik en tant que jeune femme moderne ? Après tout, c’est
un monde très masculin.

Kristen: Je ne le vois pas du tout comme ça. En
lisant le livre, une personne peut avoir cette impression, que les
femmes sont seulement des seconds rôles. Mais cela représente le moment
très spécial, dans lequel des jeunes gens, hommes et femmes confondus,
étaient capable de sortir et de se trouver, de trouver leur propre
famille d’une certaine façon et ne pas grandir dans le cadre dans lequel
ils étaient nés. Et cela veut aussi dire trouver des gens qui vous
forcent à vous défier vous-mêmes. Pour moi, cela était une idée définie :
Je me disais à moi-même que j’ai besoin de trouver des gens comme ça,
des gens qui me poussent comme dans Sur La Route. Tout le monde sait ça :
certaines relations sont très confortables mais vous finissez par
devenir fainéant. Je veux que mes amis me poussent et me défient.

***

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Interview de Kristen avec The Sydney Morning Herald (Australie)





Publié le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Lors
de son passage en Grande Bretagne pour la promotion de Blanche Neige et
le Chasseur, Kristen a répondu aux questions du journal The Sydney
Morning Herald (Australie).

Source: The Sydney Morning Herald via kstewartnews
Traduction [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] via [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

TSMH: Kristen Stewart approuve d’être interviewée à
propos de son rôle dans Blanche Neige et le Chasseur au château
d’Arundel, en Angleterre. Le bâtiment, dont certaines parties ont 1000
ans, semble tout droit sorti d’un conte de fées.

Kristen: ‘Il est d’autant plus logique d’être dans un véritable château et pas s’asseoir dans un hôtel de Beverly Hills’, dit-elle.

TSMH: La star de Twilight de 22 ans a demandé si
nous pouvions nous asseoir à l’extérieur, afin qu’elle puisse prendre
l’air au milieu d’une longue journée d’interviews. Alors que nous
discutons dans son rôle de Blanche Neige – le personnage de conte de
fées connu pour sa beauté pâle et selon la version Disney du moins,
réussit – une abeille passe en bourdonnant et Stewart sursaute en dehors
de son siège d’effroi.

Kristen: ‘Tant pis pour mon effet ‘Blanche Neige’, dit-elle. ‘Même les abeilles ne m’aiment pas’.

TSMH: Hollywood n’a pas un tel problème et a
accueilli la jeune star empoisonnée depuis sa percée en tant que fille
de Jodie Foster dans le trhiller Panic Room en 2002.

Kristen: Après une série de rôles dans des films
incluant Cold Creek Manor, Zathura, Fierce People et Into The Wild,
Stewart a été catapultée dans la célébrité en 2008 en tant que Bella
Swan, l’adolescente qui tombe amoureuse d’un vampire dans les
adaptations cinématographiques des romans de Stephenie Meyer. Le
cinquième et dernier film Twilight sortira cette année.

TSMH: En Blanche Neige, Stewart revêt un autre rôle
littéraire emblématique, mais Blanche Neige et le Chasseur est un
nouveau regard sur le conte de fées germanique raconté par les Frères
Grimm. Dans le film, la Reine Ravenna (Charlize Theron) envoit un
chasseur (Chris Hemsworth) pour lui ramener Blanche Neige après qu’elle
se soit échappée du château et cachée dans la forêt enchantée. Mais il
se ravise après l’avoir rencontrée et au lieu de ça, il essaie de
l’aider à reconquérir son royaume.

Kristen: ‘Les temps ont changé et les contes de fées
également’, dit Stewart. ‘Blanche Neige est principalement une mère et
une gardienne dans l’histoire originale, mais il était vraiment
important pour moi qu’elle soit aussi une star d’action. Pas une fille
faisant l’imitation d’un mec’, ajoute-t-elle fermement. ‘Mais une femme
forte qui botte des c***’.

TSMH: Stewart dit que son plus grand défi durant le
tournage avait quatre pattes. ‘J’avais neuf ans lorsque j’ai chuté d’un
cheval et je me suis brisé & déplacé le coude, donc c’était un
obstacle sur ce film à coup sur’, dit-elle.

Kristen: ‘Jusqu’à la dernière minute, je ne savais
si je pourrais réellement monter sur un cheval et le un regard
profondément terrifié que vous verrez dans ma performance n’est pas du
jeu d’actrice’.

TSMH: L’acteur australien Hemsworth – mieux connu
pour ses rôles dans Thor et The Avengers – est plein d’éloges sur sa
partenaire. ‘Elle avait une telle opinion forte de l’endroit où elle
venait mener le personnage et qui le personnage était, donc elle a donné
le ton, mené la charge et il était facile de suivre’.

L’actrice farouchement privée – dont on dit qu’elle sort avec son
partenaire de Twilight Robert Pattinson depuis trois ans mais n’a jamais
confirmé la relation publiquement – n’est étonnamment pas affectée par
la vie sous le feu des projecteurs.

‘Beaucoup de gens font des films pour devenir célèbre et riche et ça
semble tout à fait banal, mais je le fais parce que j’aime ça’,
dit-elle.

Kristen: ‘A l’heure actuelle, la chose la plus
intéressante pour moi est le fait que j’ai fait Blanche Neige et qu’il
sort la semaine prochaine’.

‘Les choses deviennent confuses et déraisonnables lorsque vous
commencez à devenir une marchandise, donc je ne voudrais plutôt ne pas
faire ça’